mercredi 21 février 2024

Des fuites de fichiers montrent que le régime iranien craignait une défection parmi ses députés

 Le 13 février, l’agence de presse Khane Mellat, associée au Parlement du régime iranien, était inaccessible, le groupe cyber activiste GhiamSarnegouni (Soulèvement j’jusqu’au renversement) en revendiquait la responsabilité et indiquait avoir pris le contrôle de 600 serveurs du Parlement. Il s’agit notamment du serveur principal, des serveurs des commissions, du serveur de la salle principale, du serveur du bar du Parlement, des serveurs de bases de données, des bureaux des représentants, du département des affaires internationales et des centres de recherche.

Les informations ont dévoilé les mesures de sécurité du régime et de son intervention au sein de l’Assemblée consultative islamique (Majlis). Des documents indiquent que lors du soulèvement populaire de 2022, le régime des mollahs était profondément préoccupé par d’éventuelles défections au sein de ses propres autorités et par leur propension à adopter des positions politiques contraires à la politique de l’establishment au pouvoir. Des rapports suggèrent que certains députés ont reçu des « briefings » des agences de sécurité, soit en personne, soit par téléphone.

Plus d'Infos : https://fr.ncr-iran.org/actualites/terrorisme-a-integrisme/des-fuites-de-fichiers-montrent-que-le-regime-iranien-craignait-une-defection-parmi-ses-deputes/

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