mardi 8 septembre 2020

Les prisonnières politiques de Sepidar s’engagent à ne pas céder avant la libération de l’Iran

 Message à l’occasion de l’anniversaire de la fondation de l’OMPI/MEK

CNRI Femme - Les prisonnières politiques de la prison de Sepidar à Ahvaz ont envoyé un message à l’occasion de l’anniversaire de la fondation de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), la principale force d’opposition démocratique iranienne. Dans ce message, elles ont juré de ne pas relâcher leur combat jusqu’à ce que l’Iran soit libre.

Adressant leurs félicitations à tous les combattants de la liberté, aux unités de résistance en Iran et la secrétaire générale de l’OMPI, Mme Zahra Merrikhi, les prisonnières politiques résistantes de Sepidar ont écrit dans leur message : « Depuis plus d’un demi-siècle, l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) a tenu tête aux deux dictatures du chah et des mollahs. Elle a défendu la souveraineté du peuple iranien et a tenu bon contre ses usurpateurs. Elle a fait de grands sacrifices pour rendre possible tout ce qui semblait impossible. Maintenant, au début de sa 56ème année, l’OMPI/MEK va accomplir le renversement du régime honteux des mollahs qui est contre le peuple iranien et contre sa religion. Elle va réaliser la liberté pour le peuple iranien et la prospérité pour sa patrie, l’Iran. »

En conclusion, les prisonnières politiques de la prison d’Ahwaz ont juré de ne pas céder jusqu’au renversement de la dictature des mollahs. Elles ont déclaré : « Nous ne céderons pas tant que le peuple iranien n’aura pas instaurer la liberté et la prospérité de l’Iran. »

Les prisonnières politiques de la prison de Sepidar sont détenues dans des conditions horribles. Les autorités pénitentiaires profitent du mélange des prisonnières dans cette prison pour exercer davantage de pression sur les détenues politiques et les torturer. Les prisonnières politiques sont harcelées, et souvent insultées, brutalisées et torturées par les autorités carcérales.

Quelques-unes de ces femmes étaient enceintes au moment de leur arrestation. Néanmoins, elles ont été torturées lors de leur interrogatoire. La commission des Femmes du CNRI a déjà publié les noms de quelques prisonnières politiques de la prison de Sepidar.

La torture des détenus politiques est une pratique courante du régime clérical en Iran pour terroriser la société et créer un climat de peur. Mais ces femmes bravent courageusement tous les risques et en acceptent le lourd tribut, pour envoyer un message d’espoir, de force et de résistance au peuple iranien. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire