mardi 22 septembre 2020

En réaction à la pendaison des prisonniers du soulèvement, la jeunesse insurgée vise les symboles de la répression


Pour protester contre l’exécution criminelle du champion de lutte iranien Navid Afkari, et de Mostafa Salehi, manifestant de l’hiver 2017-2018, et en réaction aux condamnations à mort des autres manifestants emprisonnés et de leur torture, de jeunes insurgés ont mis le feu à des centres de répression et de pillage et des centres de propagation de l’extrémisme en Iran.

Au nombre de ces activités figurent l’incendie des entrées de centres de répression de la milice du Bassidj, de centres de pillage affiliés au bureau de Khamenei, de centres de propagation de l’intégrisme religieux et de formation de terrorisme, ainsi que des portraits de Khamenei et Qassem Soleimani à Téhéran, Chiraz (ville natale de Navid Afkari), Ispahan, Khorramabad, Islamchahr, Ivanki (Semnan), Shahr-e-Rey, Sanandaj, Pakdasht, Yazd, Joven (Khorassan-Razavi) et Lahidjan. Ces activités dans le climat de mise en alerte des forces répressives jouent un rôle efficace pour briser le climat de terreur que les mollahs cherchent à imposer.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne

Le 21 septembre 2020



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