• Le seul moyen pour Khamenei d’échapper à la colère populaire est la torture et les pendaisons ; l’inaction internationale alimente la machine des exécutions et de la terreur.
Empêtré dans des crises économiques et politiques incurables et terrifié par le soulèvement et la colère populaires, Khamenei a intensifié le massacre des prisonniers pour préserver son régime clérical maudit. En sept jours seulement, du 15 au 21 octobre, au moins 56 prisonniers ont été exécutés. Cela signifie qu’une personne est cruellement assassinée toutes les trois heures pour que le tyran Khamenei reste au pouvoir.
Le 21 octobre, huit prisonniers ont été exécutés : Hamzeh Shahou Zehi, Serajoddin Abitalibi, 36 ans, et Mohammad Shams, 26 ans, à Chiraz ; Jalil Ashouri à Machhad ; Eqbal Khaza’i, Shahram Mirza’i, 31 ans, et un prénommé Ahmad à Kermanchah ; et Mahyar Afrashteh à Ilam.
Le lundi 20 octobre, neuf prisonniers ont été pendus : Bahman Soltani à Hamedan ; Ali Aqajari, 22 ans (âgé de 17 ans au moment du délit présumé) et Sajjad Shokri à Ahwaz ; Nourmohammad Asgari à Nahavand ; un prénommé Hamid à Kerman ; et un prénommé Khaled ainsi que trois autres à Taybad, dans la province de Khorassan Razavi.
Le dimanche 19 octobre, sept prisonniers ont été exécutés : Gholam Nemati à Bam ; Farhang Hout Namdadi à Kahnouj ; Nima Torkaman et un autre prisonnier à Arak ; Moslem Soleimani Dehkordi à Shahr-e Kord ; Ayoub Vali à Borazjan ; et Milad Forouzandeh, 27 ans, à Nichapour.
Le samedi 18 octobre, Kamran Amini et Farshad Sane’i ont été envoyés à la potence à Khorramabad, Mehdi Hamzeipour à Arak et Javad Na’imi à Qom.
Le jeudi 16 octobre, Jaber Nadi et Jalal Mahmoudi ont été pendus à Kerman, Mohammadreza Cheraghi à Chahroud et Reza Youssefi, 25 ans, à Qom.
Le mercredi 15 octobre, 24 prisonniers ont été exécutés dans un crime majeur : Shaban Ezzati et Abolfazl Garrousi, 36 ans, à Tabriz ; Soltan Morad Mohammadi à Qom ; Mohammad Na’imi et Kazem Omidi, 32 ans, à Ahwaz ; Maziar Fathi à Taybad ; Nahid Hemmati à Nahavand ; Sajjad Shahriari, Touraj Rostami, 27 ans, Nassir Babamohammadi, 34 ans, Mansour Bideli, 34 ans, et Kafieh Qobadzadeh, 30 ans, à Chiraz ; et Maziar Bahrami, 30 ans, à Ispahan. Les noms des autres prisonniers exécutés ont été communiqués dans un communiqué précédent.
En outre, la semaine dernière, deux prisonniers sont décédés, Hassan Sahra’i à Ghezel Hessar et Sajjad Shabani à la prison d’Adelabad à Chiraz, faute d’avoir reçu un traitement médical en temps utile.
Le régime clérical inhumain, qui ne peut survivre un seul jour sans torture ni exécution, a réduit le nombre d’exécutions à la prison de Ghezel Hessar à la suite de la grève de la faim, pour ensuite augmenter les pendaisons dans d’autres prisons. Ce régime interprète le silence et l’inaction de la communauté internationale comme un feu vert pour de nouvelles exécutions. Il doit être mis au ban de la communauté internationale et ses dirigeants doivent être traduits en justice pour 46 ans de crimes contre l’humanité et de génocide.
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