Alors que la majorité des pays du monde commémorent ce 10 octobre, la Journée mondiale contre la peine de mort, le criminel Khamenei continue, par des exécutions barbares et collectives, à plonger chaque jour davantage de familles iraniennes – en particulier des femmes et des enfants – dans le deuil, la détresse et l’orphelinat.
À la veille de cette journée internationale, ce régime potence a exécuté au moins 30 prisonniers en seulement deux jours, les mercredi 7 et 8 octobre – un crime atroce révélant la panique de la dictature religieuse face au risque d’une explosion de colère populaire.
Le 8 octobre, 18 prisonniers ont été pendus : Massoud Maleki à Ispahan ; Sajjad Amiri (37 ans) et Heshmat Foroughi (33 ans) à Chiraz ; Behnam Niknam à Amol ; Shahab Jaberi et un prénommé Rahman à Machhad ; Hossein Zareh, Seyed Mahmoud Hosseini, Mahmoud Valiallahi, Ahmad Mohammadi, Ali Saïdzadeh Fahimi, Arman Kakavand, Milad Yari, un prénommé Pedram, ainsi que quatre autres prisonniers à la prison de Qezel Hessar à Karadj.
La veille, le 7 octobre, 12 prisonniers ont été exécutés, dont Saber Nassiri à Aligoudarz et Jalal Moradi à Taybad. Les noms des autres victimes ont été publiés dans un communiqué précédent.
Le fascisme religieux au pouvoir en Iran a établi, entre le 1ᵉʳ octobre 2024 et le 30 septembre 2025, un bilan sanglant sans précédent. Durant cette période, 1 654 prisonniers ont été exécutés dans les 31 provinces du pays — soit une augmentation de 2,3 fois par rapport à la même période de l’année précédente (851 exécutions) et de 2,8 fois par rapport à l’année d’avant (693 exécutions).
Ces chiffres incluent 54 femmes, 8 mineurs délinquants et 10 exécutions publiques.
Sur ce total, 787 exécutions concernent des affaires liées à la drogue, alors que les principaux réseaux de trafic de stupéfiants sont contrôlés par les Gardiens de la révolution et le bureau de Khamenei.
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