Redoutant une explosion de colère populaire et pour contenir un soulèvement, la machine à exécuter, torturer et tuer de Khamenei ne connait pas de répit. Ce mercredi 13 novembre, au moins 7 prisonniers, dont une femme, ont été pendus à la prison de Qezel-Hessar à Karadj.
Le mardi 12 novembre, deux prisonniers ont été pendus à Hamedan dont un, cruellement, en public.
Lundi 11 novembre, Hamzeh Jahanian et Javad Dolabi ont été pendus à la prison centrale de Karadj. Dimanche 10 novembre, la prisonnière Mahrokh Khani, 35 ans, et le condamné Kazem Baba’i ont été exécutés à Tabriz, Saman Karimi, 25 ans, à Yassouj, Mohammad-Nabi Papol-Zahi, 28 ans, à Zahedan, et Hamid Soltanabadi à Qazvine.
Samedi 9 novembre, Jafar Farahani, 36 ans, a été pendu à Nichapour, et jeudi 7 novembre, Sadegh Sohri, 32 ans, Mohammad Majid Jamali et une détenue à la prison de Lakan à Racht, ainsi qu’Ali Ahmadzadeh à Gorgan. Mercredi 6 novembre, outre les exécutions annoncées dans le communiqué précédent, Hossein Heydari a aussi été pendu à Chiraz, Iraj Shabdiz à Gorgan, Mojtaba Ghassemi et un autre condamné à la prison de Ghezel-Hessar.
La plus grande contribution de Pezeshkian pour le peuple iranien est l’augmentation des exécutions. Depuis le mois de juillet et l’entrée en fonction de Pezeshkian, le nombre d’exécutions enregistrées a atteint 461 personnes, un chiffre sans précédent ces dernières années, soit une augmentation de 75% par rapport à la même période en 2023 sous le gouvernement de Raïssi.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 13 novembre 2013
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