• Appel à une action urgente pour sauver les condamnés à mort
Hier, mercredi 13 novembre, nouveau « mercredi sanglant », le régime criminel de Khamenei a exécuté au moins 11 prisonniers. Les bourreaux ont pendu Hamzeh Torkashvand, Jafar Rahespar, Khaled Tajik, Saman Bozorgui, Ahmad Alizadeh et deux autres condamnés à la prison de Qezel-Hessar à Karadj, Mehdi Sharif et Hossein Faramarzi à Kachan, Fathollah Rashidi à Chiraz et Ghiam Safizadeh à Jiroft.
Ce 14 novembre, l’exécution du condamné Reza Kardel a été signalée à Amol. En même temps, le système judiciaire des mollahs a condamné à mort six manifestants. Ces personnes avaient été arrêtées lors du soulèvement de 2022 dans le quartier d’Ekbatan à Téhéran, à la suite de la mort d’un milicien du Bassidj criminel.
Les condamnations à mort et la vague massive d’exécutions – accélérées à un rythme sans précédent sous le mandat de Massoud Pezeshkian – reflètent la crainte du régime d’un soulèvement imminent, sa tentative de contenir la colère populaire qui couve et ses efforts futiles pour retarder son inévitable renversement.
La Résistance iranienne appelle une nouvelle fois le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Union européenne et ses États membres, ainsi que toutes les organisations de défense des droits humains, à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à ces exécutions brutales et sauver la vie des condamnés à mort en Iran. Il faut mettre au ban de la communauté internationale le parrain des exécutions, du terrorisme et du bellicisme. C’est essentiel pour la paix, la lutte contre le terrorisme et le respect des principes universellement reconnus en matière de droits humains.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 14 novembre 2024
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