« Raïssi l’assassin doit être jugé », « Raïssi criminel, la justice t’attend »
Le 29 juillet 2021 à l’occasion du trente-troisième anniversaire du massacre de plus de 30 000 prisonniers politiques en 1988, à 90% des partisans et membres des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), les unités de résistance et des partisans de l’OMPI en Iran ont à nouveau mis en avant la nécessité que la justice soit rendue et que soient poursuivis en justice les auteurs de ce grand crime, en particulier Raïssi, le bourreau de 1988, qui doit prendre ses fonctions la semaine prochaine.
Les unités de résistance et les partisans de l’OMPI ont demandé justice pour les martyrs en tenant des photographies de prisonniers politiques exécutés uniquement pour avoir défendu la cause de liberté.
Ils tenaient également des pancartes avec des slogans tels que « Raïssi, cet assassin, doit être jugé », « Raïssi, criminel, la justice t’attend », « Nous ne pardonnons ni n’oublions le massacre de 1988 », « A bas Raïssi, le bourreau du massacre de1988 ! Vive Radjavi ! »
Des unités de résistance et des partisans de l’OMPI ont également installé des banderoles et des pancartes sur les ponts au-dessus des principales autoroutes de Téhéran et d’autres villes, avec des extraits de discours de Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) sur le massacre de 1988 et le rôle de premier plan de Raïssi dans ce grand crime. Les pancartes disaient : « Maryam Radjavi : Raïssi le bourreau est coupable parce qu’il défend toujours tous ses crimes passés », « Maryam Radjavi : le massacre de 1988 est l’un des moments les plus sombres de l’histoire iranienne contemporaine », « Maryam Radjavi : Aujourd’hui, le mouvement pour la justice en faveur des victimes du massacre est le mouvement de tous les Iraniens pour renverser le régime», « Maryam Radjavi : La nomination du bourreau de 1988 à la présidence des mollahs est un signe de l’ère du renversement du régime en termes de relation de la dictature avec le peuple iranien », « Maryam Radjavi : ni cacher la vérité, ni cacher les tombes des martyrs et d’en effacer l’identité, ne pourront pas arrêter le mouvement pour la justice ».
Ces actions se sont déroulées dans un climat sécuritaire tendu et la mise en état d’alerte des forces de sécurité et de la milice du Bassidj. Elles ont reçu un accueil chaleureux de la population notamment à Téhéran, Ispahan, Ahwaz, Lahijan, Shahriyar, Amol, Chiraz, Babolsar, Tabriz, Khorasan, Racht, Kerman, Torbat-e-Jam, Karadj, Khorramabad, Machad, Bandar-Abbas, Yazd, Anzali, et Qazvine. Ci-dessous figurent des photos de certaines de ces activités.
Secrétariat du Conseil national de la résistance iranienne
Le 30 juillet 2021
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