Dans la soirée du 30 juillet, pour la troisième semaine du soulèvement, les habitants de Téhéran et de nombreuses villes sont descendus dans la rue pour lancer des slogans tels que « canon, chars et mitrailles, il faut tuer Khamenei », « toutes ces années de crimes, à bas le guide suprême », « c’est une honte, c’est une honte, un guide aussi dément », « A bas le dictateur » et « ni à Gaza ni au Liban, je donne ma vie à l’Iran ». Ils ont appelé au renversement du fascisme religieux en Iran.
Samedi soir, lorsque des jeunes de Narmak sont descendus dans les rues de Téhéran après un match de football et ont scandé « à bas le dictateur ! », ils ont été chargés par les forces répressives qui ont procédé à des arrestations.
A Téhéran-Pars, de jeunes insurgés ont allumé des feux sur les routes pour protester contre la dictature religieuse en criant « A bas le principe du guide suprême ! ». De l’autre côté de la ville, les forces répressives ont fermé la place Sadeghi de Téhéran à la circulation par crainte de manifestations généralisées.
Parallèlement, de jeunes insurgés à Baharestan (province de Téhéran) ont manifesté le vendredi soir jusqu’au petit matin de samedi.
A Ahwaz, de jeunes insurgés se sont rassemblés sous le slogan « c’est notre dernier mot, notre seul but est le régime ». A Shoushtar, de jeunes insurgés ont bloqué la route et manifesté.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 31 juillet 2021
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire