vendredi 23 juillet 2021

Iran : le nombre de morts du coronavirus dépasse les 336 000

 • Khamenei, qui a publiquement interdit l’importation de vaccins américains, britanniques et français, a imputé aujourd’hui effrontément la perturbation de la distribution des vaccins à la mauvaise gestion des vendeurs.

• Hôpital Firoozabadi Shahrari : Les références COVID-19 ont augmenté sans précédent. Auparavant, nous avions 25 à 50 visites par jour pour injection, mais nous avons eu 250 visites du matin à midi ces derniers jours. (Quotidien Hamshahri, 23 juillet 2021)

• Université des sciences médicales d’Hormozgan : au cours des dernières 24 heures, le taux de mortalité et d’hospitalisation liés au COVID-19 a atteint un record. (Agence de presse Tasnim, 23 juillet 2021)

• Université des sciences médicales de Mazandaran : (Concernant l’épidémie de COVID-19), nous sommes dans une situation noire et critique ; tous les hôpitaux sont pleins et le personnel médical est très vulnérable. (Agence d’information radiophonique et télévisée d’État, 23 juillet 2021)

• Université des sciences médicales d’Ispahan : nous avons 1 908 patients hospitalisés COVID-19, dont 323 ont été admis au cours des dernières 24 heures et 243 sont en soins intensifs. (Agence de presse Mehr, 23 juillet 2021)

L’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) a annoncé vendredi 23 juillet 2021 que le nombre de décès dus au coronavirus dans 547 villes d’Iran avait dépassé 336 000.

Le nombre de Lorestan 12 905, les victimes à Téhéran ont atteint 78 326, Ispahan 22 775, Khouzistan 21 371, Khorassan Razavi 20 385, Mazandaran 12 990, Azerbaïdjan occidental 12 353, Fars 11 372, Guilan 10 896, Qom 10 135, Alborz 9 638, Sistan et Baloutchistan 8 9 201, Golestan 7 855, Hamedan 7 063, Yazd 5 752, Hormozgan 5 545, Ardebil 4 080, Qazvin 3 819 et Zanjan 3 600.

« La variante Delta COVID-19 avait été détectée en Inde depuis le début du printemps en mars 2021, et les autorités auraient pu adopter des politiques plus appropriées pour empêcher son entrée », a admis aujourd’hui l’agence de presse Tasnim. « Tous (les responsables) savaient que les échanges transfrontaliers avec l’Inde, le Pakistan et l’Afghanistan étaient très élevés et qu’il y avait une possibilité de transmission du virus. »

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI)

Le 23 juillet 2021

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