• Appel à des mesures urgentes pour faire libérer les prisonniers politiques et condamner les arrestations arbitraires en Iran
Le régime des mollahs a procédé à l’arrestation d’anciens prisonniers politiques en vue de créer un climat de terreur et de troubles sociaux. Dans un cas, le samedi 17 septembre, des agents du renseignement ont fait une descente au domicile de l’ancienne prisonnière politique Fatemeh (Houriyeh) Zia’i-Azad à Téhéran. Ils l’ont arrêtée et incarcérée au quartier 209 de la prison d’Evine. Les agents ont saisi les téléphones portables et des effets personnels de Mme Zia’i. Ils ont filmé l’ensemble des membres de sa famille et de ses invités et inspecté les téléphones portables des invités.
Fatemeh Zia’i, 59 ans, a été emprisonnée pour la première fois de 1981 à 1986 pour avoir soutenu l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK). Elle a été emprisonnée pour la même raison en 2008, 2013, 2015 et 2019. Elle souffre de sclérose en plaques et a besoin de soins médicaux urgents. Ses deux enfants sont membres de l’OMPI et se trouvent à Achraf-3 en Albanie.
La Résistance iranienne appelle le Conseil de sécurité, le Secrétaire général, le Conseil des droits de l’homme et le Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’homme et tous les défenseurs des droits humains à condamner les arrestations arbitraires en Iran. Elle leur demande de faire libérer les prisonniers politiques. Elle souligne une fois de plus la nécessité d’envoyer une délégation internationale visiter les prisons en Iran et d’y rencontrer les prisonniers, en particulier les prisonniers politiques.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Les 18 septembre 2022
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