samedi 12 février 2022

Informations exclusives d’Al-Hadath sur les unités de la résistance iranienne (MEK)

 CSDHI – La télévision officielle iranienne a été perturbée jeudi 27 janvier par la diffusion de séquences montrant le dirigeant de la résistance iranienne Massoud Radjavi et Mme Maryam Radjavi, présidente élue du groupe d’opposition iranien, le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI).

Après avoir assisté pendant des décennies à la propagande du régime, le peuple iranien a enfin pu entendre ce qu’il recherchait vraiment dans cette émission : « A bas [Ali] Khamenei », le guide suprême du régime, et « Gloire à Radjavi ». La Résistance iranienne a fait étalage de sa puissance, selon de nombreux sites de médias internationaux.

La chaîne arabe Al-Hadath TV a diffusé un reportage exclusif sur les Unités de la Résistance iranienne, un réseau lié aux Moudjahidines du peuple d’Iran (MEK), et ses actions à travers le pays. Des membres des Unités de résistance du MEK ont été interviewés par Al-Hadath.

Alors que le régime iranien est en proie à des luttes intestines et à des protestations croissantes depuis deux ans, une nouvelle stratégie et sa menace pour le système semblent se profiler à l’horizon. Il s’agit de la même stratégie que celle des mille « unités de résistance », mais cette fois à l’intérieur de l’Iran.

L’objectif de ces Unités de Résistance est clair : abattre le mur de peur et de répression du régime dans toute la société. Ces missions sont accomplies avec beaucoup de courage par les unités. Elles accrochent des bannières « A bas Khamenei » et brûlent les statues de Qassem Soleimani et les bases des pasdarans (IRGC).

Les unités de résistance sont actives dans toutes les villes iraniennes, selon les sources d’Al-Hadath, en particulier à Téhéran, Karaj, Kazeroun, Ahwaz, Ispahan, Chiraz et Mashhad.

Selon ces sources, les unités de résistance opèrent en « petits groupes » afin d’échapper aux poursuites et à l’emprisonnement par l’appareil de sécurité du régime. Ce réseau est aujourd’hui le mouvement le mieux organisé et le plus répandu parmi les personnes de tous horizons, y compris les étudiants, les ouvriers, les agriculteurs, les chauffeurs de camion et même les commerçants.

Des milliers d’unités de la Résistance iranienne ont participé à la marche annuelle de l’opposition iranienne en Albanie, défiant le régime avec des messages audiovisuels, portant un coup sans précédent à la sécurité interne du régime.

« Je m’appelle Sara. J’ai 32 ans et je réside actuellement à Téhéran. Je suis une enseignante qui couvre l’activité en ligne du MEK. Nous utilisons les médias sociaux pour combattre ce gouvernement. Les médias sociaux sont un instrument révolutionnaire utilisé pour renverser le régime. Même si l’Internet est fermé, les actions de l’opposition iranienne renverseront le régime. L’état de l’Iran est grave. Les gens sont indignés à cause du président Ebrahim Raisi », a rapporté Al-Hadath, en interviewant un jeune membre de la Résistance iranienne.

« Je suis un représentant des unités de résistance de Téhéran. Je fais le serment devant la secrétaire générale du MEK, Mme Zahra Merikhi, de combattre la tyrannie ignoble et impitoyable jusqu’à la dernière goutte de mon sang et de mon souffle. Je suis prêt », a déclaré un autre jeune membre.

Exclusive Report on MEK Resistance Units in Iran from Al-Hadath
L’objectif de ces unités de résistance est clair : abattre le mur de peur et de répression du régime dans toute la société.

La crainte du régime iranien de perdre le contrôle s’est rapidement reflétée dans les médias officiels, selon Al Hadath Reporter.

Le journal officiel Mardom Salarie a publiquement admis que le MEK est le principal danger pour le régime aujourd’hui dans son éditorial « mauvaise direction ».

Les opérations nationales et étrangères du MEK, selon l’article, ont poussé le régime à son état précaire actuel.

« Le MEK et la création d’unités secrètes », rapporte le site Internet officiel Rajanews, « démontrent la pertinence des opérations quotidiennes de l’Unité de résistance dans les autres villes de Téhéran. »

Source : Stop au Fondamentalisme

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