Exécution de 24 prisonniers, dont deux femmes, le 26 novembre, et d’un grand nombre de prisonniers les 29 et 30 novembre

 2 521 exécutions ont été recensées en un an et quatre mois de la présidence de Pezeshkian.

Les bourreaux de Khamenei ont pendu au moins 24 prisonniers, dont deux femmes, lors d’un crime brutal commis le mercredi 26 novembre 2025. Le jeudi 27 novembre, au moins 6 prisonniers ont été exécutés, et le samedi 29 et le dimanche 30 novembre, un grand nombre de prisonniers ont été exécutés ; le nombre et les noms des victimes seront communiqués après vérification.

Les noms de 11 prisonniers exécutés samedi 29 et dimanche 30 décembre ont été déterminés jusqu’à midi aujourd’hui, notamment : dimanche, Kazem Motamedi à Dezful et Ali Hossein Rashidian à Saveh ; et samedi, Ali Morad Shahbazi à Aligoudarz, Marwan Jaberi à Dezful, Iman Mehrabi à Sanandaj, Sobhan Jafari à Khorramabad, Mohammad Karim Moradi à Kermanchah, Arman Nayeri et un autre prisonnier à Ghezel-Hessar, un prisonnier nommé Abolfazl à Yassouj et Abolfazl Farokhi à Hamedan.

Le jeudi 27 novembre, Kazem Bigdeli à Ghoutchan, Sharif Jaberi à Saveh, Ali Mahini, de la minorité iranienne-arabe de Mahchahr, Nemat Gholami à Kachemar, Noorkhoda Shahrokhi à Ferdows et Mohsen Azizfarkhani à Machad ont été pendus.

Les noms des prisonniers exécutés le 26 novembre sont : Ali Amini à Boukan, Mehdi Kaabi, un Iranien arabe à Borazdjan, Saeed Khani à Malayer, Bahman Salehi, 30 ans, à Aligoudarz, Mehrdad Pourhossein et Ali Sayeh Afkan à Rasht, Mohammad Dadkhah et Maziar Abbasi, 28 ans, à Ispahan, Mina Sadoughi et un autre prisonnier à Shiraz. Les noms des autres prisonniers exécutés ont été communiqués dans un communiqué précédent.

Le mardi 25 novembre, 13 prisonniers ont été exécutés. Shahram Shamsi a été pendu à Ardebil, Behzad Alipour à Behbahan, Noshad Amiri à Qazvin et Karim Rafiei à Zanjan. Les noms des autres victimes ont été communiqués précédemment.

Ainsi, le nombre d’exécutions en seize mois sous la présidence de Pezeshkian s’élève à 2 521.

Le régime des mollahs, en proie à une crise de pouvoir et paralysé sur tous les plans, survit en semant la peur et la terreur par une multiplication des exécutions. L’Association Humanitaire appelle les Nations Unies et les organisations compétentes, l’Union européenne et ses États membres à agir immédiatement pour mettre fin à la machine à tuer des mollahs, sauver la vie des condamnés à mort et visiter les prisons iraniennes.