Elle est la 49ᵉ femme exécutée en Iran en 2025.
Sous le régime des mollahs en Iran, les agents du réseau du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), qui trafiquent d’importantes quantités de stupéfiants et rendent dépendants les jeunes d’Iran et du Moyen-Orient, fournissent ouvertement de la drogue aux prisonniers dans les prisons du régime afin de briser leur résistance.
Les responsables de ces crimes ne subissent aucune sanction et mènent des vies d’un luxe extrême, tandis que des individus vulnérables comme Zahra Mir-Ghaffari, poussés par la pauvreté et le chômage, sont condamnés à mort et exécutés.

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