Samedi 19 juillet, six autres prisonniers ont été victimes des potences du régime des mollahs: Mohammad Ahmadkhani et Parviz Sarlak à Aligoudarz ; Mohammad et Alireza Eshtarak ainsi qu’un autre prisonnier à Gorgan ; et Davoud Amani à Zandjan.
Mercredi 16 juillet, six prisonniers ont été pendus : Peyman Afshar, 43 ans, Hadi Garoussi, 28 ans, et Mehdi Baba’i, 31 ans, à la prison Lakan de Racht ; Molan Abdolazizkhani, 31 ans, et Vahhab Heidari, 29 ans, à la prison Choubindar de Qazvine ; et Abbas Zare’ à la prison centrale de Karadj.
Lundi 14 juillet, Mohammad-Javad Kazemi a été exécuté à la prison centrale d’Arak, Kianoush Khosravi-Siah-Bidi à la prison Dizelabad de Kermanchah, et Ghassem Azizi à la prison de Birjand.
Dimanche 13 juillet, cinq prisonniers ont été pendus : Ali-Mirza Bahrami, 32 ans, Jalal Nazarbeigui, 33 ans, et Hamid Yavari à Hamedan ; Segvand Massib à Khorramabad, et Abbas-Ali Jahangardi à Sari. En plus des noms mentionnés dans le communiqué précédent, Morad-Hassan Mansouri a été exécuté à Malayer mercredi 9 juillet, et Youssef Parsa ainsi qu’un autre prisonnier à Qazvine mardi 8 juillet.
Ainsi, le nombre d’exécutions sous la présidence de Pezeshkian (depuis la fin juillet 2024) atteint au moins 1438 personnes, un chiffre sans précédent au cours des trois dernières décennies. Les exécutions et la répression sont la bouée de sauvetage de Khamenei, surtout à ce stade terminal de son régime. Pris en étau entre des crises internes et internationales majeures, le régime des mollahs, en chute libre, est incapable de stopper sa machine d’exécutions et de tueries, même pendant le mois sacré de Moharram.

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