Par ailleurs, le directeur de la prison centrale de Karaj, Fatahi, a déclaré aux prisonniers : Que Dieu nous pardonne, nous faisons notre devoir et nous ne sommes pas coupables ! Il est dit : Les directeurs des prisons ont visité les prisons et ont fermé toutes les voies d’évasion avec du fil barbelé et du fer….
Une source informée a déclaré à l’Iranian Human Rights Society : A midi le dimanche 4 septembre, trois prisonniers nommés Shahram Kakavand né en 1368 de Hersin et Peyman Soleimani de Kohdasht, environ 45 ans, de la chambre 3 et Azizyar Hashemi de la chambre 4 ont été transférés en isolement de la prison centrale de Karaj.
Les trois prisonniers ont été condamnés à mort sur des accusations de drogue et en l’absence de casier judiciaire.
Il convient de noter qu’il y a un grand nombre de prisonniers condamnés à mort dans les prisons centrales de Karaj et de Ghezel Hesar.
Le régime a condamné 100 personnes à mort
On pense que, selon les nouvelles reçues, le régime va accélérer la vitesse d’exécution des condamnations à mort.
La prison centrale de Karaj compte dix quartiers où au moins 100 personnes sont condamnées à mort dans chaque quartier. Cela signifie que la justice iranienne a condamné à mort un millier de personnes dans cette prison.
D’autre part, les autorités carcérales iraniennes ont transféré au moins sept prisonniers de la prison de Minab dans des cellules d’isolement pour exécuter leur peine de mort.
Noms des prisonniers figurant sur la liste d’exécution
Les noms de ces prisonniers sont : « Abdul Ghafoor Naravi (Karmozhi), marié et père d’un enfant de Bampur, Iranshahr. Suleiman Naravi (Karmozhi), marié et père d’un enfant de Bampur, Iranshahr. (nom inconnu) Bahadurzahi Rigi, marié avec deux femmes et un enfant de Zahedan. Haji Zubiriger Malek, marié et père d’un enfant, originaire de Minab. Mohammad Kazemi de Jahrom, Milad Fan de la province de Golestan et Mohammad Reza Kafiri de la province de Mashhad.
Ces prisonniers ont été précédemment condamnés à mort par les autorités judiciaires sur des accusations liées à la drogue. Aujourd’hui, les agents iraniens les ont transférés dans les cellules d’isolement de la prison de Minab pour y être exécutés.
Selon d’autres informations, Hrana a annoncé le transfert de 8 prisonniers devant être exécutés dans la prison de Rajaï Chahr.
La société des droits humains d’Iran a mis en garde contre les conditions des prisons, en particulier les prisons centrales de Karaj, la prison de Ghezel Hesar et celle de Rajaï Chahr. Elle demande une action sérieuse et immédiate pour arrêter les exécutions.
Source : Iran Human Rights Society/ CSDHI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire