La Cour suprême a rejeté sa demande de nouveau procès en janvier 2025. Auparavant, en novembre 2024, l’Organisation des renseignements du CGRI s’était également opposée à sa demande de libération conditionnelle.
Mahnaz Tarrah a été violemment arrêtée par les forces de sécurité le 13 novembre 2023 dans les rues de Téhéran. Elle a d’abord été détenue dans le centre de détention du ministère du Renseignement, connu sous le nom de quartier 209 de la prison d’Evin, avant d’être transférée dans le quartier des femmes le 3 décembre 2023.
En janvier 2024, le tribunal révolutionnaire de Téhéran l’a condamnée à 3 ans et 8 mois de prison pour « rassemblement et collusion en vue de commettre un crime » et à 8 mois supplémentaires pour « propagande contre l’État ». Après qu’elle a accepté le verdict, sa peine a été réduite à 2 ans et 9 mois.
Mahnaz Tarrah a déjà fait l’objet de convocations, d’arrestations et de poursuites liées à la sécurité. Le rejet répété de ses demandes légales, y compris l’autorisation de sortie et la révision du procès, met en évidence la répression continue des militants politiques et la pression croissante exercée sur les prisonniers politiques en Iran.
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