Un élément clé de cet effort est l’application Nazer, soutenue par le gouvernement, qui permet à la police et à des membres « vérifiés » du public de signaler des violations présumées commises par des femmes dans des véhicules, y compris dans des ambulances, des transports en commun et des taxis.
Le rapport décrit l’application comme permettant aux utilisateurs de télécharger la plaque d’immatriculation du véhicule, le lieu et l’heure de l’infraction présumée. Selon le rapport, l’application alerte ensuite la police. Ensuite, selon le rapport, l’application « déclenche un message texte (en temps réel) au propriétaire enregistré du véhicule, l’avertissant qu’il a été trouvé en violation des lois sur le hijab obligatoire et que son véhicule sera mis en fourrière s’il ignore ces avertissements ».
Selon le rapport, les autorités utilisent des drones à Téhéran et dans le sud du pays pour contrôler le respect de la loi sur le hijab dans les lieux publics, ainsi qu’un nouveau logiciel de reconnaissance faciale qui aurait été installé l’année dernière à l’entrée de l’université Amirkabir de Téhéran.
Le rapport doit être présenté au Conseil des droits de l’homme des Nations unies mardi.
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