Son père l’avait contrainte à épouser un membre de sa famille et, lorsqu’elle a résisté, il a réagi par des violences physiques et verbales brutales, menaçant même de la tuer. Fatima avait déjà averti sa famille qu’elle s’ôterait la vie si la pression se poursuivait, mais ses appels ont été ignorés. En fin de compte, elle est devenue une nouvelle victime du mariage forcé et de la violence domestique.
Le mariage d’enfants continue de coûter la vie et l’avenir à de nombreuses jeunes filles sous le régime oppressif de l’Iran. Cette pratique constitue non seulement une violation flagrante des droits de l’Homme, mais elle inflige également à ses victimes des dommages physiques et psychologiques irréversibles.
Les grossesses précoces, la mortalité maternelle chez les mères mineures, la dépression, le suicide, l’abandon scolaire et le divorce ne sont que quelques-unes des conséquences dévastatrices du mariage des enfants. Pendant ce temps, le système juridique du régime iranien non seulement ne prévient pas ces injustices, mais les légitime activement par des lois misogynes et discriminatoires.
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