Selon les informations, les agents de sécurité ont menacé Fariborz Sebghatollahi, déclarant que la vie de sa famille serait en danger s’il refusait de coopérer et de fournir des aveux forcés. Afin d’accroître la pression sur lui, les autorités ont également détenu sa fille, sa belle-fille, son ex-femme et plusieurs de ses amis pendant une courte période avant de les relâcher.
Bien que Fariborz Sebghatollahi ait été formellement accusé d’appartenance à des groupes d’opposition, aucune date de procès n’a été fixée. Cette détention prolongée a suscité de vives inquiétudes quant aux violations des droits de l’homme et au déni du droit à un procès équitable.
Source : CSDHI
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