À l’heure actuelle, les charges exactes retenues contre le poète Gilani Peyman Farahavar ne sont pas claires. Cependant, des rapports suggèrent qu’il fait face à des accusations telles que « propagande contre le régime » et « inimitié contre Dieu (Moharebeh) ». Les autorités judiciaires n’ont pas encore fixé la date de son procès, mais ont prolongé sa détention jusqu’en avril 2025.
Le poète Gilani Peyman Farahavar, prisonnier politique, a déjà été arrêté pour son activisme. Sa détention prolongée sans procédure légale claire a soulevé de sérieuses inquiétudes quant à sa situation en matière de droits de l’homme. Le régime iranien maintient régulièrement les prisonniers politiques dans un flou juridique prolongé afin d’accroître la pression sur les détenus et leurs familles. En prolongeant l’incertitude et en les privant d’une procédure régulière, les autorités cherchent à briser la résistance des prisonniers et à les contraindre à se soumettre aux exigences du régime.
Source : CSDHI
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire